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La conception des self-trackers : de la mesure au changement des comportements

Les “self-trackers” ont fait l’objet d’un grand nombre de recherches visant à les concevoir sur la base de principes théoriquement fondés. Dans cette perspective, différentes théories psychologiques ont été mobilisées. Outre la mesure quantitative des activités (sommeil, marche, alimentation, etc.), une bonne partie des principes tirée de ces théories visent le changement de comportements dans le but de promouvoir ou d’inciter les individus à adopter des comportements vertueux (pour leur santé). Cette perspective soulève cependant toute une série de questions autour de la “force prescriptive” des systèmes fondés sur ces principes : ne risquent-ils pas en effet “d’imposer” des “normes” de comportements définies par les concepteurs, conduisant ainsi à une forme de standardisation sociale des comportements ? Autrement dit, au niveau plus individuel ne risquent-ils pas “d’assujettir” les utilisateurs ? Quelles sont les “marges de manœuvre” dont ces derniers disposent vis-à-vis de ces normes ?
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