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Tous « accros » à l’écran ? Éléments socio-historiques sur la pathologisation des usages numériques au prisme de l’addiction.

Tous « accros » à l’écran ?[1] Derrière cette interrogation médiatique se cache une préoccupation sociale profonde, une nouvelle forme de panique morale dans l’histoire des technologies de communication. Notre capacité à maîtriser nos usages numériques fait l’objet d’une interrogation sociale grandissante. De son côté, Orange engage sa responsabilité sur la sensibilisation et le contrôle du temps d’écrans avec l’initiative « For good connections ». Cet article s’appuie sur une enquête documentaire (littérature spécialisée et rapports publics) pour apporter un éclairage socio-historique sur la cyberaddiction.
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Brand Orange - screen addiction
L'image montre un homme assis à un bureau, concentré sur deux écrans d'ordinateur devant lui. Il a les cheveux courts et une barbe bien taillée. Il porte une chemise blanche à motifs discrets. À l'arrière-plan, on peut voir une plante verte qui ajoute une touche de nature à l'environnement de travail. La lumière naturelle entre par une fenêtre, illuminant la scène.

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Jeune femme portant des gants réalise des recherches environnementales près d'un lac. Elle utilise du matériel, y compris un ordinateur portable et des kits de test. Des arbres et de l'eau en arrière-plan.

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